Morcat. Journal 2014

créée le vendredi 23 mai 2014, 11 h 52
modifiée le vendredi 23 mai 2014, 12 h 25
Jeudi 22 mai 2014, minuit.
Mon message est si simple, pour ces élections européennes, si élémentaire, tellement invariable, que j’ai du mal à le rabâcher indéfiniment jusqu’à la dernière minute : la conquête de la France et de l’Europe par des peuples extra-européens est de très loin le problème le plus grave, le plus tragique et le plus pressant qu’aient à affronter notre pays et l’ensemble du continent : au regard de celui-là, tous les autres, si sévères et douloureux qu’ils puissent être, sont littéralement secondaires ; car il s’agit de rien de moins que de la survie de ce que nous sommes, de la poursuite, ou non, d’une histoire qui soit encore la nôtre. Si vous partagez cette conviction-là, et si vous refusez la colonisation en cours, l’islamisation, le changement de peuple et de civilisation, bref le Grand Remplacement, dites-le clairement, hautement et véhémentement — c’est-à-dire, dans la circonscription Sud-Ouest, en votant pour la liste antiremplaciste, que je conduis.

Pour les autres circonscriptions j’imagine — ce n’est pas certain — que nous allons publier un communiqué appelant à voter pour les listes du Front national. On peut supposer qu’elles sont, après la nôtre, les plus conscientes de la menace de changement de peuple et les plus déterminées à refuser le Grand Remplacement. Malheureusement ce message-là est en grande partie brouillé, chez ceux qui les animent, par la détestation de l’Union européenne, qui le supplante et tend à le… remplacer. Bien entendu nous sommes aussi hostiles que le Front national, sinon plus, aux politiques menées par l’Union, par sa commission, ses commissaires et son parlement, tout spécialement en matière d’immigration et de défense des frontières. Ces politiques, nous souhaitons qu’elles soient changées radicalement, et que les peuples d’Europe, enfin éclairés sur la réalité de ce qui leur arrive, la substitution ethnique et culturelle, s’unissent pour mettre en place à Bruxelles et à Strasbourg un pouvoir résolu à en empêcher le parachèvement, et à renverser le mouvement. À l’heure où l’invasion plus ou moins pacifique (plutôt moins que plus…) du continent prend le tour accéléré qu’on lui voit, il ne nous semble pas (à nous de la liste antiremplaciste, de l’In-nocence et du NON) que la première urgence soit de lutter contre l’Europe ; mais qu’elle est au contraire de la défendre, de la protéger par tous les moyens, de rallier toutes les forces à même de sauvegarder son indépendance, sa civilisation, son âme et son identité.

Étant dix mille fois moins forts que le Front national — que dis-je : cent mille fois, un million de fois moins forts —, nous sommes, paradoxalement (ou pas…), plus ambitieux que lui. Nous souhaitons que les forces antiremplacistes accèdent au gouvernement non seulement de la France, mais de l’Europe. Nous ne voulons pas que la France quitte l’Union, nous voulons qu’elle apporte une contribution majeure et radicale à sa transformation et au renversement total de ses politiques.

voir l’entrée du jeudi 22 mai 2014 dans Le Jour ni l’Heure

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